Léorys — Gardienne Blizzard

PHYSIQUE : Léorys est un peu plus grande que la moyenne. Bien qu’elle n’ait pas une carrure spécialement imposante, elle possède des muscles très développés. Sa fourrure assez épaisse est très claire, d'une couleur dorée tirant sur le crème. Ses yeux sont ambrés, seule distinction avec sa mère dont les prunelles sont brunes.

HABITUDES ET TICS : Elle marche instinctivement assez vite et il n’est pas rare de lui demander de ralentir l’allure. Elle a le poil toujours propre mais ne s’embête jamais à être impeccable ou belle. Elle n'en a pas besoin. Elle porte une grande attention à ses pattes et ses crocs. Il n'est pas rare de la voir mastiquer des plantes pour se donner une bonne odeur et entretenir ses dents. Elle déteste qu’on lui touche les oreilles.

CAPACITÉS : Elle se démarque par sa rapidité et ses bons réflexes qui compensent un manque de force brute. Elle est également très endurante et cherche souvent à avoir ses ennemis à l’usure. Elle aurait fait une excellente chasseuse mais préfère courir après des prédateurs qu'après des proies.

Mère absente, père inconnu… Léorys n’est pas originaire d’une famille ordinaire. Elle n’a aucune information sur l’identité de son géniteur et, Letha, qui l’a mise au monde, semble mieux se porter lorsqu’elle n’approche pas ses filles. Ses, au pluriel. En effet, dans ce sombre tableau, Léorys peut compter sur une belle touche de lumière : sa sœur Junon. Ces deux-là, d’apparence, ne se ressemblent en rien. Qui ne le sait pas ne pourrait pas deviner leur parenté. L’une à la robe aussi sombre que la nuit s’oppose à celle dorée de sa jumelle. Et pourtant, dès qu’on apprend à les connaitre on retrouve le caractère bien trempé qui semble leur être génétique. Entre elles, on peut parler d’étincelles ! Un jour, elles se chamaillent comme deux chipies et le lendemain elles tueraient pour se protéger l’une l’autre.

Elles s’allient généralement contre leur ennemi commun : leur mère. Léorys en est le portrait craché, à son plus grand damne… Beaucoup les confondes ce qui a le don de la rendre folle. Par déduction, Junon ressemble donc à leur père. Il s’agit là de l’unique indice qu’elles aient à son propos. Malheureusement, Letha ne devait pas l’apprécier car elle s’est toujours montrée plus désagréable avec Junon. Les deux sœurs ont donc grandi auprès d’une mère peu aimante qui s’est débarrassée d’elles dès le sevrage. Cette enfance peu commune les a poussées à compter l’une sur l’autre et devenir très débrouillardes. Elles ont également pu compter sur Neven. Un louveteau de leur âge qui, très jeune, se lia d’amitié avec elles.