Qui sont-ils ? [Solo : Chasse & Exploration]

La vieille albinos avait pris le chemin des marécages asséchés, elle marchait difficilement dans cette zone mais elle avait insisté parce qu'elle avait une idée bien en tête. Elle voulait retourner à l'endroit où elle avait rencontré cette panthère infecte, son esprit voulait savoir si elle pouvait retourner dans cette zone en étant tranquille. C'est en arrivant à la zone prévue qu'elle sentit une odeur qu'elle connaissait bien. Elle suivit la piste qui était fraiche et elle finit par tomber sur un terrier qu'elle creuse vivement. Elle l'attrapa et lui croqua le fessier. C'est après l'avoir mangé qu'elle se dirigea vers le lieu où se trouvait l'épave.

La journée avait très bien commencé, le froid était moins glaçant que la veille et il semblait même qu'un léger rayon de soleil tentait de pénétrer les épais nuages qui recouvraient constamment les terres. L'albinos avança doucement jusqu'à se retrouver à la porte de l'épave. Une odeur âcre lui parvenait et elle ne parvenait pas à l'identifier. Son instinct lui intima de partir mais elle resta, entra dans le bateau et s'arrêta lorsque sa patte rencontra quelque chose qui émit un bruit étrange, elle l'identifia comme étant celui d'une bouteille en verre, elle semblait vide alors elle la saisit délicatement.

Edelweiss était encore une fois retournée à la vieille épave qu'elle explorait ces derniers jours et elle devait avouer qu'elle avait trouvé des choses intéressantes et même de quoi manger ce qui n'était pas pour lui déplaire. Aujourd'hui elle s'était levée assez tôt et lorsqu'elle sentit l'odeur de rouille émanant de la carcasse, elle s'approcha avec prudence comme à chaque fois qu'elle venait là. Elle trébucha tout d'abord sur quelque chose de moelleux mais assez volumineux, elle garda son emplacement en mémoire pour plus tard. Elle manqua de tomber en marchant sur un harpon, heureusement il n'était plus chargé et elle n'eut aucune blessure. Elle ramassa ensuite un bocal en verre qu'elle trouvait très utile pour stocker des choses.

Texte